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littérature et poésie
28 janvier 2007

le carnaval darlequin

Cette peinture s’appelle « Carnaval d’arlequin de Juan Miro

Juan Miró (20 avril 1893 à Barcelone - 25 décembre 1983 à Palma de Majorque) est un peintre, sculpteur et céramiste catalan.

Attiré par la communauté artistique réunie à Montparnasse, il rencontre le mouvement Dada en 1920, sous l’influence des poètes et écrivains surréalistes il développe dès 1924 son style unique , une géographie de signes colorés et de formes poétiques en apesanteur placée sous le double signe d'une fraicheur d'invention faussement naive et de l'esprit catalan exhubérant et baroque.

En 1926 il collabore avec Max Ernst sur des décors pour Serge de Diaghilev. La technique du « grattage » est alors expérimentée.Miró se marie avec Pilar Juncosa à Palma de Majorque le 12 octobre 1929 et se lie d’amitié avec Pablo Picasso et Kandinsky.L’un des théoriciens (et fondateurs) du surréalisme les plus radicaux, André Breton, décrit Miró comme « le plus surréaliste d’entre nous ».

Miró exprime son mépris pour la peinture (au moins celle que l’on considère conventionnellement) et son désir de la tuer et de l’assassiner en faveur de nouveaux moyens d’expression dans de nombreux écrits et entrevues des années 1930. Joan Miró gagne en 1954 le prix de l’imprimé à la Biennale de Venise.Il est nommé Docteur honoris causa de l’université de Harvard en 1968, et de celle de Barcelone en 1979, ville où il créé en 1972 une Fondation Miró.

Dans ses dernières décennies, il accélère ses travaux sur divers médias, produisant par exemple des centaines de céramiques, incluant le mur de la lune et le mur du soleil sur l’immeuble de l’UNESCO à Paris. Il expose par écrit ses idées les plus radicales et les moins conues, explorant les possibilités de la sculpture gazeuse et de la Peinture en quatre dimensions.

Dans cette œuvre, on retrouve de l’imaginaire on retrouve de l’imaginaire crée par un monde fantastique, on voit des chapeaux, des instruments de musique, des petits personnages, ces objets sont redessinés dans un monde créatif c'est-à-dire qu’il y aune base réel (la pièce) et dans cette pièce on y intègre des choses imaginaires.

C’est une représentation d’une maison ou plutôt d’une pièce, on imagine qu’il ya une fenêtre

Il y a un espace qui est crée par des poids et des contrepoids qui prennent ici l’apparence de petites créatures drôles et fantastiques célébrant le carnaval, les couleurs rouge, jaune bleue sont mises en valeur par les deux couleurs du fond qui sont plutôt sombres. Les formes originales me font sourires et me laisse entrer dans un monde imaginaire  cela me plait, car plus on grandit, plus on s’éloigne de ce monde.

J’ai choisi ce tableau, tout d’abord parce qu’à la première approche, il m’a directement frappé, j’avais l’impression qu’il me ressemblait par le désordre et les couleurs primaires. Mais aussi, par le fait que les objets sont entassés, cela me donne l’impression de me retrouver dans un monde où les objets vivent et que la fête devient quelque chose de quotidien. Le fait que ce soit une peinture du surréalisme m’a tout de suite inspirée, car j’ai déjà travaillé sur ce thème.

Le surréalisme donne l’impression d’exprimer son l’inconscient

mircertr

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